8 research outputs found

    Cyclotraxin-B, the First Highly Potent and Selective TrkB Inhibitor, Has Anxiolytic Properties in Mice

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    In the last decades, few mechanistically novel therapeutic agents have been developed to treat mental and neurodegenerative disorders. Numerous studies suggest that targeting BDNF and its TrkB receptor could be a promising therapeutic strategy for the treatment of brain disorders. However, the development of potent small ligands for the TrkB receptor has proven to be difficult. By using a peptidomimetic approach, we developed a highly potent and selective TrkB inhibitor, cyclotraxin-B, capable of altering TrkB-dependent molecular and physiological processes such as synaptic plasticity, neuronal differentiation and BDNF-induced neurotoxicity. Cyclotraxin-B allosterically alters the conformation of TrkB, which leads to the inhibition of both BDNF-dependent and -independent (basal) activities. Finally, systemic administration of cyclotraxin-B to mice results in TrkB inhibition in the brain with specific anxiolytic-like behavioral effects and no antidepressant-like activity. This study demonstrates that cyclotraxin-B might not only be a powerful tool to investigate the role of BDNF and TrkB in physiology and pathology, but also represents a lead compound for the development of new therapeutic strategies to treat brain disorders

    Zinc-induced inhibition of protein synthesis and reduction of connexin-43 expression and intercellular communication in mouse cortical astrocytes

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    International audienceZinc released from a subpopulation of glutamatergic synapses, mainly localized in the cerebral cortex and the hippocampus, facilitates or reduces glutamatergic transmission by acting on neuronal AMPA and NMDA receptors, respectively. However, neurons are not the only targets of zinc. In the present study, we provide evidence that zinc inhibits protein synthesis in cultured astrocytes from the cerebral cortex of embryonic mice. This inhibition, which reached 85% in the presence of 100 micro m zinc, was partially and slowly reversible and resulted from the successive inhibition of the elongation and the initiation steps of the protein translation process. This was assessed by measuring the phosphorylation level of the elongation factor eEF-2 and of the alpha subunit of the initiation factor eIF-2. Due to the rapid turnover of connexin-43 that forms junction channels in cultured astrocytes, the zinc-induced decrease of protein synthesis led to a partial disappearance of connexin-43, which was associated with an inhibition of the cellular coupling in the astrocytic syncitium. In conclusion, zinc not only inhibits protein synthesis in neurons, as previously demonstrated, but also in astrocytes. The resulting decrease in the intercellular communication between astrocytes should alter the function of surrounding neurons as well as their survival

    Plomb dans l'environnement : quels risques pour la santé ?

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    Le plomb est un mĂ©tal exploitĂ© depuis des millĂ©naires, mais son usage s'estaccentuĂ© avec la rĂ©volution industrielle. L'exposition de populations travaillantdans les industries utilisant le plomb a rĂ©vĂ©lĂ© les effets dĂ©lĂ©tĂšres de ce mĂ©tal surdiffĂ©rentes fonctions biologiques. L'introduction du plomb dans certaines peinturesen tant que pigment, puis dans l'essence aprĂšs la dĂ©couverte de ses propriĂ©tĂ©santidĂ©tonantes, a eu pour consĂ©quence une diffusion encore plus large dansl'environnement. Cette pollution, touchant l'ensemble de la planĂšte, conduit Ă s'interroger maintenant sur les consĂ©quences en termes de santĂ© publique d'uneexposition permanente au cours de la vie Ă  des doses faibles ou moyennes. Lesenfants sont une population particuliĂšrement vulnĂ©rable puisque les effets du plombsont importants sur le cerveau en dĂ©veloppement, mais ces effets toxiquespourraient Ă©galement se manifester Ă  d'autres pĂ©riodes de la vie.L'analyse des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques effectuĂ©es dans les populationsprofessionnellement exposĂ©es au plomb ou en population gĂ©nĂ©rale et des travauxexpĂ©rimentaux in vivo et in vitro, permet de rĂ©pertorier les diffĂ©rents effets duplomb sur l'organisme. Chez les enfants, les Ă©tudes longitudinales et transversalesmettent en Ă©vidence que des niveaux croissants d'exposition au plomb sont corrĂ©lĂ©sĂ  une rĂ©duction des scores de dĂ©veloppement intellectuel et psychique exprimĂ©snotamment par le QI.Des stratĂ©gies de dĂ©pistage chez les enfants ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es Ă  large Ă©chelle auxEtats-Unis sous l'impulsion des Centers for disease control sur la base de plusieursfacteurs de risque, principalement l'habitat dĂ©gradĂ©, source potentielle depoussiĂšres chargĂ©es de plomb, et le niveau socio-Ă©conomique. Une approchediffĂ©rente du dĂ©pistage doit-elle ĂȘtre envisagĂ©e Ă  la lumiĂšre des donnĂ©es sur lesrisques liĂ©s Ă  une exposition plus faible ? Quel est le nombre d'enfants affectĂ©s enFrance par une baisse de QI, selon l'existence ou non d'un seuil d'exposition ?Quelles sont les principales sources d'apport en plomb selon le site gĂ©ographique,pour le nourrisson, l'enfant et l'adulte ? Quels sont les bĂ©nĂ©fices attendus d'unerĂ©duction globale de l'exposition au plomb de la population gĂ©nĂ©rale et ceux de labaisse de l'exposition chez les enfants de moins de 6 ans vivant dans un habitatdĂ©gradĂ© ? Quels sont les coĂ»ts d'une politique visant principalement le risquehydrique, et ceux rĂ©sultant des mesures de rĂ©habilitation d'urgence ou d'Ă©radicationcomplĂšte du plomb dans l'ensemble des logements ?..

    Plomb dans l'environnement : quels risques pour la santé ?

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    Le plomb est un mĂ©tal exploitĂ© depuis des millĂ©naires, mais son usage s'estaccentuĂ© avec la rĂ©volution industrielle. L'exposition de populations travaillantdans les industries utilisant le plomb a rĂ©vĂ©lĂ© les effets dĂ©lĂ©tĂšres de ce mĂ©tal surdiffĂ©rentes fonctions biologiques. L'introduction du plomb dans certaines peinturesen tant que pigment, puis dans l'essence aprĂšs la dĂ©couverte de ses propriĂ©tĂ©santidĂ©tonantes, a eu pour consĂ©quence une diffusion encore plus large dansl'environnement. Cette pollution, touchant l'ensemble de la planĂšte, conduit Ă s'interroger maintenant sur les consĂ©quences en termes de santĂ© publique d'uneexposition permanente au cours de la vie Ă  des doses faibles ou moyennes. Lesenfants sont une population particuliĂšrement vulnĂ©rable puisque les effets du plombsont importants sur le cerveau en dĂ©veloppement, mais ces effets toxiquespourraient Ă©galement se manifester Ă  d'autres pĂ©riodes de la vie.L'analyse des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques effectuĂ©es dans les populationsprofessionnellement exposĂ©es au plomb ou en population gĂ©nĂ©rale et des travauxexpĂ©rimentaux in vivo et in vitro, permet de rĂ©pertorier les diffĂ©rents effets duplomb sur l'organisme. Chez les enfants, les Ă©tudes longitudinales et transversalesmettent en Ă©vidence que des niveaux croissants d'exposition au plomb sont corrĂ©lĂ©sĂ  une rĂ©duction des scores de dĂ©veloppement intellectuel et psychique exprimĂ©snotamment par le QI.Des stratĂ©gies de dĂ©pistage chez les enfants ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©es Ă  large Ă©chelle auxEtats-Unis sous l'impulsion des Centers for disease control sur la base de plusieursfacteurs de risque, principalement l'habitat dĂ©gradĂ©, source potentielle depoussiĂšres chargĂ©es de plomb, et le niveau socio-Ă©conomique. Une approchediffĂ©rente du dĂ©pistage doit-elle ĂȘtre envisagĂ©e Ă  la lumiĂšre des donnĂ©es sur lesrisques liĂ©s Ă  une exposition plus faible ? Quel est le nombre d'enfants affectĂ©s enFrance par une baisse de QI, selon l'existence ou non d'un seuil d'exposition ?Quelles sont les principales sources d'apport en plomb selon le site gĂ©ographique,pour le nourrisson, l'enfant et l'adulte ? Quels sont les bĂ©nĂ©fices attendus d'unerĂ©duction globale de l'exposition au plomb de la population gĂ©nĂ©rale et ceux de labaisse de l'exposition chez les enfants de moins de 6 ans vivant dans un habitatdĂ©gradĂ© ? Quels sont les coĂ»ts d'une politique visant principalement le risquehydrique, et ceux rĂ©sultant des mesures de rĂ©habilitation d'urgence ou d'Ă©radicationcomplĂšte du plomb dans l'ensemble des logements ?..

    Identification of a low–molecular weight TrkB antagonist with anxiolytic and antidepressant activity in mice

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    The neurotrophin brain-derived neurotrophic factor (BDNF) and its receptor tropomyosin-related kinase B (TrkB) have emerged as key mediators in the pathophysiology of several mood disorders, including anxiety and depression. However, therapeutic compounds that interact with TrkB receptors have been difficult to develop. Using a combination of structure-based in silico screening and high-capacity functional assays in recombinant and neuronal cells, we identified a low–molecular weight TrkB ligand (ANA-12) that prevented activation of the receptor by BDNF with a high potency. ANA-12 showed direct and selective binding to TrkB and inhibited processes downstream of TrkB without altering TrkA and TrkC functions. KIRA-ELISA analysis demonstrated that systemic administration of ANA-12 to adult mice decreased TrkB activity in the brain without affecting neuronal survival. Mice administered ANA-12 demonstrated reduced anxiety- and depression-related behaviors on a variety of tests predictive of anxiolytic and antidepressant properties in humans. This study demonstrates that structure-based virtual screening strategy can be an efficient method for discovering potent TrkB-selective ligands that are active in vivo. We further propose that ANA-12 may be a valuable tool for studying BDNF/TrkB signaling and may constitute a lead compound for developing the next generation of therapeutic agents for the treatment of mood disorders
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